Music is everywhere !
A tous ceux qui chantent dans leurs salles de bains, dans les couloirs du métro ou pourquoi pas, devant un micro ou sur une scène, sachez qu’il existe une juridiction dans le domaine de la musique numérique.
Comment protéger ses œuvres ou connaître ses droits dans le domaine de la création musicale, sans être juriste ou consulter un avocat spécialisé dans la propriété intellectuelle ?
Quelles sont les démarches pour créer en toute légalité ?
Comment débroussailler un peu la jungle de « négociations », de « signatures », « d’engagements », « de partages de données » et de « protocoles » à l’ère du « streaming » ?
Le site de l’ESML aide à y voir plus clair…
Pour faire simple, l’ESML (Syndicat des Éditeurs de Services de Musique en Ligne) a pour objectif de favoriser le développement du marché légal de la musique numérique. Il souhaite concilier différents partenaires « français, européens et internationaux », tout en conservant les spécificités de chacun. L’ESML veut également préserver « l’indépendance culturelle française, garantir une « gamme variée de services (gratuits et payants) » et offrir « un véritable soutien au développement d’offres légales attractives pour lutter contre le piratage ».
Par son réseau de membres, l’ESML s’associe également, à des bibliothèques, des collectivités ou des comités d’entreprise pour proposer de nouveaux services en lien avec le domaine musical. Des applications sont développées. Des engagements sociaux sont pris. Un objectif primordial pour l’ESML : l’accès à une rémunération juste dans le domaine musical.
Pour infos, voici quelques membres de l’ESML : Cellfish (Hitster), Cypok Média (Paroles.net)
Deezer, Musicovery, GESTE – Editeurs de Contenus et de Services en Ligne, Jellynote, Medici.tv
Orange, Music Story, Recisio, Starzik, Mybandmarket, Playzer, Blitzer, Qobuz, 1D Lab, Spotify, Deedo…
To be continued…
Alors, si vous voulez en savoir plus, à des fins professionnalisantes, voici le site à consulter : http://www.esml.fr/
@Noé On The Road
Intéressant
Il faut juste trouver le bon milieu entre protection et diffusion/partage des oeuvres car elles sont faites pour être écoutées au final